Très rentable, le secteur de l’immobilier ne cesse d’attirer les investisseurs. En effet, l’investissement dans ce secteur constitue un excellent moyen de se constituer un patrimoine et de diversifier ses revenus. Si vous avez fait le choix d’investir dans ce domaine, nous vous invitons à découvrir dans ce billet ce que vous devez savoir pour réussir votre projet immobilier.
Définir votre projet immobilier
Avant d’investir dans l’immobilier, vous devez déterminer clairement le type de projet qui vous intéresse, et les raisons pour lesquelles vous souhaitez effectuer cet investissement. Il peut s’agir de :
- La constitution d’un patrimoine ;
- La préparation de votre retraite ;
- La mise à l’abri de votre famille.
En fonction de vos motivations, la prise de risque ne serait pas la même. En ce qui concerne le type de projet, vous devez savoir ce que vous voulez exactement. Voulez-vous investir dans un bien immobilier neuf ou ancien ? Quels types de logements vous intéressent ? Dans quelle zone souhaitez-vous acheter votre maison ou appartement ? Les réponses à ces questions vous permettront d’affiner votre projet immobilier.
Définir votre capital et votre capacité d’emprunt
Lorsqu’on demande des conseils pour son projet immobilier, l’accent est particulièrement mis sur la capacité d’investissement. Ce critère dépend avant tout du capital dont vous disposez, et de votre capacité d’emprunt. En effet, en fonction de votre statut socioprofessionnel, vous pouvez obtenir un crédit immobilier auprès des banques qui sont disposées à vous soutenir avec un montant équivalent au tiers de vos revenus nets.
Par ailleurs, en dehors du crédit bancaire, vous pouvez financer votre projet via des dispositifs de défiscalisation immobilière tels que la loi pinel, la loi Denormandie, et le déficit foncier. Pour bénéficier des avantages (réduction d’impôt pouvant atteindre 21 %) du dispositif Pinel, vous devez acheter et louer un bien immobilier neuf qui respecte les conditions fixées par ce dernier. Il s’agit notamment de critères relatifs à la zone d’implantation du logement, à la durée de la location, au plafonnement du loyer, etc.
En ce qui concerne la loi Denormandie, elle s’applique aux logements anciens à rénover. En respectant les conditions relatives à la location et à l’investissement fixé par cette règlementation, vous pouvez obtenir une réduction d’impôts de près de 63 000 euros. Le déficit foncier quant à lui est un mécanisme fiscal donnant la possibilité à un bailleur de déduire de son revenu global, la différence entre les revenus perçus et les charges payées. Un plafond annuel de 10 700 euros est fixé, avec l’obligation de louer le bien jusqu’au 31 décembre de la troisième année suivant l’imputation du déficit.
Le choix du logement
Il est important de rechercher les informations sur le domaine de l’immobilier, avant d’y investir. En fonction de vos limites budgétaires, vous devez choisir des logements capables de pérenniser votre projet. En général, les petits appartements qui coûtent moins cher sont rentables et plus rapides à louer. C’est le contraire des maisons de type familial qui en revanche présentent l’avantage d’une plus grande stabilité des locataires. Que ce soit l’un ou l’autre, nous vous conseillons de faire une analyse du marché pour déterminer le besoin en logement dans la zone où vous souhaitez investir. Par ailleurs, vous pouvez visiter ce site pour découvrir quelques méthodes qui vous permettront d’économiser vos fonds dans le cadre d’investissement dans votre projet immobilier.